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Une intervention claire, sobre, et qui dit l’essentiel sur la situation politique mondiale ! Amis et Camarades faites suivre…

Posté par jacques LAUPIES le 23 mai 2025

Une intervention claire, sobre, et qui dit l'essentiel sur la situation politique mondiale ! Amis et Camarades faites suivre...

Faites circuler ce texte court du secrétaire départemental du Pas de Calais, son intervention au conseil national des 16 et 17 mai 2025.

Un manifeste qui éclaire avec force le mouvement accéléré de transformation du monde, un monde désormais multi-polaire qui construit l’après d’un impérialisme incapable de surmonter les résistances à son hégémonie.

Un manifeste qui nous appelle à l’action, à écrire l’histoire nouvelle de la paix et de la justice sociale !

 

Nous vivons un tournant historique !

Intervention d’Hervé Poly au Conseil National des 16 et 17 mai.

Chers camarades,
Nous vivons un moment de bascule. Le monde change.
L’ordre unipolaire dominé par les États-Unis vacille.

Et il faut le dire clairement : L’impérialisme américain porte en lui, depuis toujours, le germe du suprémacisme racial et de classe. Il s’est construit sur l’esclavage. Sur l’extermination des peuples autochtones. Sur la ségrégation. Et sur l’exploitation violente du Sud global.

Depuis la chute de l’Union soviétique, il a transformé le monde en un Far West planétaire. La loi du plus fort a remplacé le droit international. Sanctions unilatérales. Guerres préventives. Interventions illégales. Voilà leur ordre mondial.

Mais aujourd’hui, ce système se fissure. La Chine s’impose. Les BRICS+ s’organisent. Les échanges en monnaies locales se multiplient. La domination du dollar est remise en question. Et ce n’est pas un simple ajustement. C’est un basculement. Un tournant historique. Un mouvement profond, irréversible.

Et ce mouvement est aussi moral.

Le Sud global — longtemps colonisé, pillé, méprisé — se relève. Il ne veut plus se taire. Il ne veut plus courber l’échine. Il dit : ça suffit.

La Palestine est devenue le miroir de ce monde. Ce que subit son peuple — et appelons les choses par leur nom, c’est un génocide.

L’Afrique du Sud l’a dit à La Haye. Lula l’a répété. Des voix se lèvent partout : en Afrique, en Asie, en Amérique latine.

Ce monde n’en peut plus de l’impunité d’Israël, protégée par les vétos occidentaux.

Il n’en peut plus de cette diplomatie à géométrie variable, du deux poids deux mesures où les droits humains deviennent une arme sélective.

Et en cette année 2025, nous commémorons un moment clé de notre mémoire collective : les 80 ans de la défaite du nazisme. L’Union soviétique a payé le prix le plus lourd : + de 25 millions de morts. La Chine, elle aussi, a versé un sang immense : près de 10 millions de vies perdues face au fascisme japonais. Alors, qui peut s’étonner de la présence de Xi Jinping à Moscou ?

Ce n’est pas de la diplomatie de façade. C’est un acte de mémoire. Un geste de fidélité historique. Un message au monde : nous n’avons pas oublié — et nous ne nous soumettrons plus.

Et pourtant, malgré les guerres, les famines, les chaos, ce monde se lève. Il dit son espoir. Il dit sa volonté de développement, de justice, de souveraineté. Il s’organise à travers les BRICS+. À travers l’Union africaine, désormais invité du G20. À travers la CELAC, l’ASEAN, tous ces espaces régionaux qui affirment leur voix et leur vision.

Le XXIe siècle ne sera pas celui de l’hégémonie. Il est déjà celui de la résistance. Car ce sont les peuples qui font l’histoire.
Le peuple vietnamien, qui a vaincu l’empire américain.
Le peuple sud-africain, qui a renversé l’apartheid.
Le peuple yéménite, qui malgré la guerre, malgré la faim, affirme sa solidarité avec la Palestine.

Et aujourd’hui, la Chine, forte de son industrie, de son indépendance, a fait reculer les États-Unis dans leur guerre commerciale.

Elle montre qu’un autre chemin est possible. Un monde sans domination. Un monde sans suzerain.

Camarades, cette ère est la nôtre.
Celle de la lutte.
Celle de l’internationalisme.

Et dans cette lutte, notre parti doit prendre toute sa place.

Après Vénissieux, après la Coupole avec nos camarades communistes européens , nous avons la responsabilité de porter cette clarté, cette fidélité aux peuples en lutte.

Car l’histoire n’est pas écrite, elle n’est pas finie. À nous de l’écrire.

Et dans cette bataille, camarades, nous devons toujours affirmer une vérité simple, mais essentielle : la paix ne peut être dissociée du progrès social. Sans justice sociale, il n’y a pas de paix durable. Sans souveraineté économique, il n’y a pas de liberté réelle. Et sans lutte collective, il n’y a pas d’avenir émancipateur.

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Analyses sur la droite…

Posté par jacques LAUPIES le 21 mai 2025

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Jeunesse victime du chômage et des bas salaires quel gouvernement peut se pencher sur leur situation précaire ?

Posté par jacques LAUPIES le 21 mai 2025

Arthur, décédé au travail à 14 ans, Lorenzo à 15 ans… Pourquoi les jeunes sont les premières victimes ?

Après la mort de Lorenzo Menardi, un apprenti de 15 ans, près de Nice fin avril, la CGT exprime son ras-le-bol face aux décès des mineurs au travail. En cause, un manque d’encadrement des jeunes en activité. L’État peine à répondre clairement.

Social et Économie

 

7min

Publié le 21 mai 2025

Jeunesse victime du chômage et des bas salaires quel gouvernement peut se pencher sur leur situation précaire ?
Les jeunes employés âgés de 15 à 24 ans sont nettement plus exposés aux accidents de travail que les autres catégories d’âge.
© Arnaud HEBERT / REA

Il y a eu Arthur, décédé à 14 ans à cause d’un bras mécanique dans les Hauts-de-France, en 2017. Ou encore Tom, apprenti de 18 ans mort en 2021 dans un abattoir des Côtes-d’Armor. Lucas est lui décédé le 17 mai 2025 sur un chantier en Bourgogne-Franche-Comté. Entre les scies circulaires, les chutes de toits ou les engins lourds… les risques encourus par les mineurs sur leurs lieux de travail sont bien réels. Bien qu’encadré, leur apprentissage doit être encore plus protégé, revendique la CGT.

Sur les chantiers, il existe une « vieille culture ouvrière. Celui qui ne s’est pas blessé, ce n’est pas un vrai travailleur », raconte Gérald Le Corre, de la CGT-TEFP (travail, emploi, formation professionnelle). La règle vaut pour les plus jeunes. Le bâtiment, la menuiserie et l’agriculture figurent dans les secteurs avec la plus forte sinistralité, autant pour les apprentis que pour les salariés.

2,5 fois plus d’accidents que pour l’ensemble des salariés

Âgés de 15 à 24 ans, les jeunes employés sont victimes d’un plus grand nombre d’accidents du travail que les autres catégories de salariés, reconnaît la Direction générale du travail. En cause, l’inexpérience, selon le ministère : « Les accidents du travail chez les moins de 25 ans surviennent plus souvent dans les douze mois suivant la prise de poste, comparé à l’ensemble de la population des travailleurs. Plus de la moitié des salariés de moins de 25 ans décédés au travail avaient moins d’un an d’ancienneté. »

De son côté, l’INRS (Institut national de recherche et sécurité) est formel : la fréquence des accidents du travail, pour les jeunes de moins de 25 ans, s’élevait à 10 % par an en 2018. Soit un bilan 2,5 fois supérieur aux accidents de l’ensemble des salariés (environ 4 %). En 2023, 38 jeunes sont décédés sur leur lieu de travail, ils étaient 43 en 2022.

Gérald Le Corre estime, lui, qu’encore aujourd’hui « les jeunes sont considérés comme de la main-d’œuvre bon marché, avec une situation de précarité forte, car ils n’osent pas faire appliquer leur droit de retrait. On pourrait éviter ces accidents ». Un constat partagé par Virginie Caron, secrétaire fédérale à la FNSCBA-CGT. « Il y a bien des quarts d’heures sécurité organisés dans les entreprises, mais c’est une fois par semaine, et encore. »

 

Elle plaide pour une meilleure formation sécurité en CFA (centre de formation pour apprenti) et pour un encadrement plus rigoureux des jeunes en activité. Les efforts de prévention en valent la chandelle : près de 878 900 jeunes sont en contrat d’apprentissage, sur les 4,2 millions d’adolescents en France (2024).

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L’Assurance-maladie a engagé en 2023 72 millions d’euros d’aides financières pour soutenir les TPE-PME dans leurs investissements en matière de prévention des risques pour l’ensemble de leurs salariés. Insuffisant pour Gérald Le Corre, qui estime que « le non-respect des consignes de sécurité n’est pas une question de contraintes financières. Il manque des contrôles fréquents. Dans certains cas, un inspecteur du travail couvre 1 200 entreprises. Il y a aussi un vrai problème de sanctions pour les employeurs. Il n’y a pas de priorité politique » sur le sujet, déplore-t-il.

Un cadre trop laxiste ?

Pourtant, le Code du travail est clair : « Les jeunes travailleurs peuvent être affectés à des travaux légers. Il est interdit de les affecter à des travaux dangereux. » (travaux de démolition, abattage, élagage…). Mais en 2015, le gouvernement Valls a changé la donne sur les réglementations sur la sécurité. Depuis le décret Rebsamen du 17 avril 2015, les réglementations au travail se sont assouplies.

Pour « les besoins de leur formation professionnelle », les apprentis peuvent être affectés, « via une procédure de dérogation », à des manipulations dangereuses, comme le montage et démontage d’échafaudages, des travaux confinés dans des puits, conduites de gaz ou encore des égouts… Virginie Caron précise : « Ces dérogations existent. Mais l’employeur doit s’assurer qu’elles sont attribuées dans des conditions de sécurité valides, notamment pour les machines. Or, ce n’est pas le cas. » La CGT souhaiterait revenir sur ces décrets.

Pour les substances cancérogènes, c’est pire. « Depuis une dizaine d’années, une succession de décrets est ainsi venue assouplir considérablement les obligations des employeurs à l’égard de ces jeunes salariés », explique Anne Marchand, sociologue à l’université Paris-Saclay. Les entreprises ne sont plus tenues de demander une dérogation à l’inspection du travail pour exposer les apprentis aux produits cancérogènes. « Il suffit désormais de transmettre une simple déclaration. » « L’employeur reste quand même responsable de la sécurité de son équipe », rappelle Virginie Caron.

Un nouveau plan depuis 2023

Consciente de ces lacunes, la Direction générale du travail (DGT) a lancé en 2023 un plan pour la prévention des accidents du travail graves et mortels (PATGM). Le ministère du Travail affirme que « plus d’un million d’élèves et apprentis des certificats d’aptitude professionnelle (CAP) /bac professionnel ont reçu un enseignement dédié en santé et sécurité au travail », en 2024 grâce à ce dispositif.

Le PATGM sensibilise notamment à l’exposition aux fortes chaleurs ainsi qu’aux malaises entraînant la mort. Chaque jour en France, plus de 100 travailleurs sont gravement blessés, et deux décèdent, d’après les chiffres officiels.

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Premier élément de réponse, près de 180 inspecteurs du travail « prendront leur poste à l’été 2025 et 159 inspecteurs élèves sont actuellement en formation pour une prise de poste à l’été 2026 », affirme la DGT. L’objectif est de déployer des agents de l’inspection du travail l’année prochaine, auprès des élèves de lycée professionnel, « afin de les sensibiliser aux risques professionnels et de les informer sur leurs droits ».

Ces 5 dernières années, le nombre d’accidents du travail total (tous âges, tous corps de métiers) a baissé d’environ 15%, affirment les services du Ministère du Travail. La sinistralité recule, un « effet rebond » après la crise sanitaire se fait ressentir dans les chiffres. “Une baisse similaire est observée dans d’autres pays européens”, et notamment en Allemagne, analyse la DGT.

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Et si on parlait programme et stratégie…Ce serait pas mal de savoir qui a la préférence des français à gauche ? Et plus peut-être !

Posté par jacques LAUPIES le 21 mai 2025

Présidentielle 2027 : François Ruffin veut une primaire de la gauche… et se dit sûr de l’emporter

Le député de la Somme, qui siège avec les Ecologistes depuis qu’il a quitté LFI, plaide dans un entretien à Libération pour une primaire de toute la gauche en vue de 2027. « Et je l’emporterai », ajoute-t-il plaidant pour mettre le partage des richesses au centre du débat.

Politique

 

4min

Publié le 21 mai 2025


Le député se dit prêt à voter pour le vainqueur, même si il s’agissait de François Hollande, puisque « on ne participe pas à un tel scrutin, sans ensuite, en respecter les règles ».
© Alexis Jumeau/ABACAPRESS.COM

Comment éviter un nouveau scénario catastrophe en 2027 où le second tour de la présidentielle verrait une nouvelle fois droite et extrême droite s’affronter tandis que la gauche serait éliminée ? Si le débat sur la prochaine présidentielle ne bat pas encore totalement son plein à gauche, François Ruffin a décidé de mettre les pieds dans le plat via un entretien accordé à Libération qui fait la Une du quotidien ce mercredi 21 mai.

« Il nous faut une primaire, une ”primaire geyser”, qui ne soit pas qu’une élection de départage, mais un moment de débordement », explique celui qui, déjà sur les rangs pour 2027, veut s’y présenter. Et il est sûr de son coup : « Je l’emporterai », affirme le député de la Somme, s’estimant le mieux placé pour battre l’extrême droite qu’il a défait « par trois fois » sur « les terres ouvrières » de sa circonscription en parlant « pour le monde du travail, les gens ordinaires qui tiennent le pays debout ».

Une primaire de Poutou à Hollande

Le parlementaire, qui siège à l’Assemblée au sein du groupe écologiste depuis son départ de la France insoumise, estime que les partis de gauche devraient l’organiser : « Ce serait mieux avec eux. Est-ce qu’ils diront tous oui demain matin ? Probablement pas. Mais il a, au sein de chacun, des unitaires contre des identitaires. De toute façon cette primaire aurait lieu. Parce qu’elle répond à un désir profond », tranche-t-il en référence aux candidatures communes du Nouveau Front populaire (NFP) lors des dernières législatives qui « en un mois » ont réuni « 9 millions de votants ».

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Et François Ruffin a tout prévu. « Le calendrier : des candidatures en avril 2026 et un vote à l’automne. Le format : une élection à deux tours, sur le modèle de la présidentielle. Pas un truc folklorique pour bac + 12. Les garde-fous pour candidater : 100 000 parrainages citoyens, 250 maires. Dix idées, en guise de profession de foi. Un vote physique avec un bureau de vote par canton. L’objectif : deux à trois millions de votants », détaille-t-il. Le « périmètre », lui, serait celui du NFP de « Philippe Poutou à François Hollande » pour lequel le député se dit prêt à voter s’il l’emportait car « on ne participe pas à un tel scrutin, sans ensuite, en respecter les règles ». Reste qu’en matière de programme, celui du NFP de juin dernier serait « la base, sans être la bible ».

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Quant à une éventuelle candidature hors primaire de l’insoumis Jean-Luc Mélenchon, François Ruffin, en rupture avec la stratégie de LFI, juge que « c’est un souci pour les naïfs : tout est question de rapport de force ». « Un candidat légitimé par des millions de votants, ça chamboule les calculs. Les gens se demanderont : quel bulletin pour gagner ? Pour battre Le Pen-Bardella au second tour. Les électeurs, eux, ne sont pas irréconciliables », assure-t-il.

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Un oubli : on continue à s’étriper en Ukraine ! Avec Gaza et le reste des conflits dans le monde de quoi trouver le WE agréable d’autant qu’ion nous promet de mourir quand on voudra et en douceur ! Retailleau blanc bonnet et Vauquiez bonnet blanc nous voila rassurés ! Décidément la vie est belle ! Ah joubliais, de quoi se réjouir tout de même, à gauche on s’étripe aussi ! Tout va très bien Madame la Marquise, tout va très bien, il faut que je vous dise … je vous le dirai demain !

Posté par jacques LAUPIES le 18 mai 2025

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Monde

 

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© Stephane AUDRAS/REA

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